Ecolo Bordeaux Blog

~ Bordeaux est une belle ville mais l'écologie n'est-elle qu'une façade ou bien une réalité? Ce blog se propose de recenser ce qui se fait en matière d'écologie et ainsi de permettre à chacun de se faire une opinion! Vous pouvez trouver des informations sur ce qui se fait ailleurs sur https://www.facebook.com/Ecolobordeauxblog-386811244801113/

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Archives Mensuelles: mars 2019

Donnez, donnez moi…

21 jeudi Mar 2019

Posted by Patrick PAPADATO in Déchets

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Boîte à don, Boîte à dons, Boîte à livres, bordeaux, Bordeaux Metropole, déchèteries, donneries, ecologie, Givebox, Quartier St Augustin, Smicval, SmicvalMarket, territoire zéro déchets

Boîte à don

Une Boîte à dons, c’est une « boîte » installée dans un espace public qui vous permet de récupérer ou déposer tous les objets que vous ne voulez pas jeter et qui pourraient éventuellement encore servir.

Sur le même principe des boîtes à livres: vêtements, jeux, CD  ou objets de toutes sortes peuvent ainsi espérer avoir une nouvelle vie grâce à ce lieu dédié au partage.

Ainsi plutôt que de déposer vos vieux objets encore corrects mais pour vous inutiles, à la poubelle ou à la déchetterie,  la boîte à dons vous incite à les déposer pour faire d’éventuels heureux.

Le concept est né à Berlin.

En 2011, un jeune styliste, bien décidé à se débarrasser d’objets qu’il n’utilisait plus, a créé le concept de la « Givebox » (boîte à donner) pour les mettre à disposition des Berlinois. Depuis, le principe s’est largement développé dans le monde.

A Bordeaux, on en trouve une seule, pour l’instant, place Gaviniès.  http://www.bordeaux.fr/p128447/projets-de-la-commission-permanente-de-saint-augustin-tauzin-alphonse-dupeux#boite-a-don

Boîte à dons

Aller plus loin.

Si l’initiative est à saluer et surtout à renouveler dans de nombreux quartiers de Bordeaux,  ces boites à dons restent limités en surface et reposent le plus souvent sur des associations qui gèrent ces espaces. Le volume de la « boîte » limite aussi considérablement les volumes traités.

Sur le même principe, les donneries sont le niveau supérieur qu’ont choisi de franchir certaines collectivités. Accolée le plus souvent à une déchetterie, la donnerie est un espace qui reçoit des objets, encore en état de marche, qui peuvent profiter à d’autres personnes.

Si Bordeaux Métropole, territoire zéro déchets  n’a pas encore développé une seule donnerie sur son territoire, le Grand Lyon apparait comme le modèle à suivre.

Dans cette métropole, douze zones de dons sont accolées aux douze déchetteries existantes, ce qui favorise la réutilisation d’objets et allège certainement la facture de cette collectivité. Les objets collectés et donnés par les Lyonnais sont récupérés, triés et revalorisés par des associations et des entreprises de l’économie sociale et solidaire. https://www.grandlyon.com/services/les-donneries.html

Mais l’idée la plus originale, est en Gironde, avec le Smicval  (syndicat mixte intercommunal de collecte et de valorisation du libournais Haute-Gironde) qui a eu l’idée d’ouvrir le Smicval Market à Arveyres. En quelque sorte une immense zone de dons, sur 5000 m2 qui vous permet de venir à la fois  récupérer des objets ou en donner, comme dans importe quelle déchetterie classique. Organisé par zone de type de produits: décoration, bricolage, matériaux de construction, jardin,… ce supermarché du recyclage ou déchetterie « inversée »  a permis de faire baisser pour le Smicval l’enfouissement des déchets collectés de 65% … https://www.elueslocales.fr/developpement-durable/supermarche-dechets-reussite-smicval-market/

Shame, Shamengo.

17 dimanche Mar 2019

Posted by Patrick PAPADATO in Place, Urbanisme

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Allées Serr, Association Shamengo, bordeaux, Bordeaux Metropole, concertation, ecologie, Ecologie urbaine, Maison écocitoyenne, Place, Places, Shamengo, Villa Shamengo

Shamengo 2

En matière de co-construction, voilà un projet qui ne démarre pas forcément sous les meilleurs auspices...  A peine lancé, le projet Shamengo a vu une pétition de riverains s’opposer à l’implantation sur les allées Serr de sa « maison-école-laboratoire du nouveau monde ». https://www.change.org/p/le-pr%C3%A9sident-de-bordeaux-m%C3%A9tropole-ne-laissons-pas-la-m%C3%A9tropole-autoriser-une-construction-sur-l-all%C3%A9e-serr-%C3%A0-bordeaux?recruiter=869070209&utm_source=share_petition&utm_medium=email&utm_campaign=share_email_responsive

Car il semble que ce sont encore les anciennes pratiques du vieux monde qui ont oeuvré à l’implantation de ce projet. La décision d’accueillir cette villa portée par l’association Shamengo a été prise entre acteurs très influents de Bordeaux : Bordeaux Métropole, la ville de Bordeaux, l’établissement public foncier Euratlantique, la caisse des dépôts et consignations, Eiffage, la SNCF-Réseaux, …

L’absence totale de concertation amène aujourd’hui les habitants du quartier à s’opposer à la réquisition de cet espace public.

serres

Mais le projet avait tout pour séduire les décideurs.

Dans le dossier de presse ou sur le site de l’association, https://www.shamengo.com/fr/ tous les concepts écolo en vogue sont exploités: aquaponie, économie circulaire, ferme urbaine, bâtiment bioclimatique, … le tout noyé sous un flot d’anglicismes très tendances : Co-working, fab-lab, éco-lodge,  living-lab, show-room, …

Forte  d’une « communauté » d’au moins 10 000 « membres » dans le monde entier, suivie par plus de 13 300  personnes sur sa page Facebook, Shamengo communique beaucoup sur sa capacité à générer une participation active. Reste que sur le site de l’association,  pour l’instant, peu de Bordelais investis dans cette dynamique locale. Trente-huit contributeurs individuels à ce jour dont seulement… trois Bordelais. https://www.shamengo.com/fr/pionnier/construisez-villa-shamengo-a-bordeaux-france/ 

shamengo

Mais si le projet peut apparaitre au final très séduisant, il reste encore très vague. Evoluant au gré des contraintes techniques de sa construction sur les allées Serr, il est passé d’une villa de deux étages à une serre démontable.

Soutenu par différents entrepreneurs privés qui souhaitent mettre en avant leurs inventions ou process écologiques, le financement de cette opération est pour l’instant assez flou. L’association qui communique peu sur ce point semble toujours à la recherche de partenaires financiers après avoir bénéficié d’une aide de la collectivité avec une autorisation d’occupation temporaire (AOT) et une redevance annuelle de seulement 8 509 euros. On sait, pour l’instant, qu’une table d’hôtes bio, des chambres d’hôtel, une boutique commerciale devraient assurer une partie de l’équilibre financier de l’opération et que Shamengo aura vocation à recevoir du public.

C’est du reste la raison pour laquelle la ville de Bordeaux n’a pas hésité à défendre ce projet et cette nouvelle vitrine pour l’écologie; même si elle concurrence quelque peu la maison écocitoyenne qui a vu son budget de fonctionnement et donc d’animation baisser ces dernières années…

Juppé et l’écologie: le bilan.

08 vendredi Mar 2019

Posted by Patrick PAPADATO in Alain Juppé, bordeaux

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agenda 21, Alain Juppé, Bassins à flots, Bilan, bordeaux, Déchets, Developpement durable, ecologie, Ecoquartiers, espaces verts, Euratlantique, Ginko, Maire, Plan climat énergie, poubelles, quaité de l'air, Tramway, vélo, ville minérale, Voiture

juppé Départ

Alain Juppé parti, dans les journaux et les magazines, l’heure est au bilan pour l’ancien maire de Bordeaux:  architecture, économie, tourisme, social,…tout est passé au crible. Et l’écologie ?

Le développement durable devait être le fil rouge de ces vingt-quatre années à la tête de la ville. De retour du Canada, nommé ministre de l’écologie en 2007, Alain Juppé avait fait de l’environnement son nouveau cheval de bataille. Alors ce bilan?

Tramway Bordeaux

Le tramway est certainement sa plus grande réussite. Ce moyen de transport a considérablement changé la ville. Mais à cette époque, le tram était déjà dans l’air du temps  (Inauguré à Nantes en 1985, à Strasbourg en 1994, à Bordeaux en 2003)  Toutes les listes présentes aux municipales en 1995, le promettaient aux Bordelais. Alain Juppé, élu, l’a réalisé.

Face aux chantiers du tramway, le vélo devenait l’alternative. Mais en 1995, rares étaient les cyclistes dans les rues de Bordeaux. Avec les travaux titanesque du tram, la bicyclette est devenue tendance dans une ville où il devenait de plus en plus difficile de circuler. Le prêt des vélos par la ville a été plébiscité par les Bordelais. Mais si la communication municipale a été parfaite (Mr le maire à vélo, le Pibal de Starck malgré son échec final,…)  sur le terrain,  les aménagements pour les cyclistes se font toujours attendre. Les Bordelais se sont mis au vélo mais vingt-quatre ans après, continuités cyclables, arceaux, entretien des pistes,… déçoivent encore.

embouteillage

Alors la voiture évacuée du centre-ville ? Pas tout à fait car si les lignes de tram ont permis de faire le ménage dans certaines rues et places, les nombreux parkings réalisés en centre-ville font que la voiture est toujours aussi utilisée pour se rendre à Bordeaux. Alors si en chiffres la part modale de l’auto a reculé, la municipalité a continué à ménager les automobilistes récalcitrants en laissant suffisamment de places de parkings en ouvrage et en surface. Du coup, la voiture reste encore le moyen le plus prisé pour  se déplacer sur la métropole, ce qui entraîne toujours bouchons et voies saturées en dehors de l’hyper centre.

Du coup la qualité de l’air à Bordeaux, n’est toujours pas au beau fixe, bien au contraire… Le nombre de jours d’indices mauvais à très mauvais augmente depuis ces dernières années. Si la fermeture du pont de pierre aux voitures est une décision qu’il faut saluer, la situation reste préoccupante en matière d’émissions de CO2.

IMG_1904

Alain Juppé a trainé, pendant ses quatre mandatures, comme un boulet, la gestion des poubelles. Ce sujet, qui n’emballait pas vraiment le maire de Bordeaux, n’a pas été un long fleuve tranquille.  Encore aujourd’hui, à chaque conseil de quartier, le sujet est abordé et reste comme une épine dans le pied de cette majorité. Poubelles non rentrées, saletés dans certaines rues, appel au privé dans le centre ville, déficit de bornes de verre, … de nombreux points posent encore problème. Mais le plus regrettable est que Bordeaux Métropole, pourtant labellisé territoire zéro déchet a vu les tonnages repartir à la hausse. (256, 08 kg/an/habitant pour 248,97 kg/an/ht en 2016) Pas vraiment une bonne nouvelle.

Avec son plan climat énergie, voté en février 2011, Bordeaux métropole s’est engagée à développer des solutions alternatives aux énergies fossiles. Depuis les années soixante-dix, la géothermie peine à se développer sur notre agglomération. Aujourd’hui, des réseaux de chaleur sont enfin lancés sur les nouveaux quartiers de Bordeaux (géothermie,  biomasse et récupération des eaux usées). Un regret tout de même que le réseau de chaleur du quartier de la gare soit rattaché à l’usine Astria de Bègles,  qui dépend à 92% de l’incinération des déchets, ce qui n’est pas exactement le choix le plus écologiquement responsable…

Ginko Bordeaux

Les écoquartiers, gloires éphémères: Ginko, Bassin à flots(quartier à énergie positive), Bastide Niel, … La mairie a encore une fois beaucoup communiqué sur ce concept très tendance. La ville de Fribourg et son écoquartier Vauban devenait un modèle à suivre, modèle que Bordeaux allait mettre en application au lac grâce à Bouygues. Cinq ans après, les Bordelais découvrent une réalité toute autre.

Agenda 21, les Bordelais ont répondu avec enthousiasme à l’appel du maire pour le « coconstruire » avec la ville de Bordeaux. Colloques, réunions, conférences, ateliers,… en 2008, la mairie définissait avec ses habitants les outils pour mener une politique municipale plus écoresponsable. Aujourd’hui, indicateurs de suivi et  mesures ont disparu. L’agenda 21 a été enterré en 2014 et remplacé par un plan climat énergie territorial. Tout ça pour ça… mais malgré un bilan enterré et des objectifs jamais atteints, Alain Juppé devenait médiatiquement plus vert que Nicolas Hulot!

Avec seulement 28 m2 d’espace verts par habitant, malgré l’aménagement des quais et les nombreuses friches industrielles disponibles, Bordeaux n’a  pas réussi à combler son retard. Selon l’observatoire des villes vertes de France, la surface moyenne d’espaces verts par habitant est de 48m2. A Bordeaux, les nouveaux quartiers continuent à pousser plus vite que les espaces verts.

Tourny bordeaux

Pourtant la carte postale est belle:  Bordeaux, ville minérale sublime les façades XVIII° des quais et de l’hypercentre. Mais à l’heure du dérèglement climatique, les Bordelais subissent en été régulièrement des pics de chaleur. Et malheureusement, ces dernières années, les aménagements réalisés n’ont pas tenu compte de ce changement. Les deux derniers projets d’Alain Juppé le prouvent encore: place Gambetta où la ville a supprimé des arbres anciens pour y installer des terrasses et place Tourny qui sera tout simplement totalement minérale.

Pendant ces vingt-quatre années, évidemment beaucoup de décisions ont été prises  en matière de développement durable.  Mais il a manqué  une vision globale, une ligne directrice et  de réelles convictions pour amener un vrai changement dans la gestion de cette ville. Au final, une bonne communication et un bon porte parole ne font donc pas forcément une bonne politique environnementale.

Gambetta: le poids des mots.

04 lundi Mar 2019

Posted by Patrick PAPADATO in Place

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bordeaux, Bordeaux Metropole, fontaine sèche, Ilots de fraicheur, Marronniers, Place Gambetta, riviere anglaise, SOS Gambetta

place jardin

Sur la place Gambetta,  Bordeaux Métropole et la ville de Bordeaux affichent depuis quelques semaines leurs ambitions,  à grand renfort d’images de synthèse et de slogans.

Après le tronçonnage de 18 marronniers de plus de 70 ans sur ce lieu emblématique de Bordeaux et à la stupeur de nombreux Bordelais devant cette place aujourd’hui désespérément vide, la mairie se devait de rebondir en affichant un avenir évidemment idylique pour cette place Gambetta.

Reste aux Bordelais à lire entre les lignes…

jardin centralUn accès au jardin central réservé aux piétons:  ce n’était pas déjà le cas avant ?

Une planification des flux automobiles: ou comment concentrer la totalité du trafic à l’ouest de la place.

La réduction de la vitesse à 30 km/h: difficile d’aller beaucoup plus vite place Gambetta…

dialogue facadeUn dialogue entre les facades XVIII et le paysage d’un jardin à l’anglaise :  le jardin à l’anglaise aujourd’hui rasé, on voit mal comment un dialogue peut encore avoir lieu avec les façades…

La conservation des arbres remarquables: soit! mais avec la suppression de 18 marronniers de plus de 70 ans tout de même…

Une superficie de 14 285 m2: Mais de quoi parle-t-on ici? Dans l’enquête publique, il était indiqué que le périmètre du jardin passerait de 5910 m2 à 4900 m2…

Plus 40% d’espaces enherbés et plantés : Dans l’ancien jardin, les surfaces de gazon déduites des surfaces en eau (la rivière anglaise) représentaient 2371m2.  Dans le futur projet, on passerait à 3437 m2 en remplaçant la rivière et les surfaces goudronnées par de l’herbe.

Plus 25% d’arbres plantés: mais des petits arbres ou arbustes qui ne remplaceront jamais les 18 grands arbres anciens abattus.

nouvelles plantationsUne fontaine, lieu de convivialité et de fraîcheur au coeur de la place : fontaine « sèche » de quelques mètres carrés qui remplacera difficilement la rivière anglaise…

Plus 50 % de surface dédiée aux piétons: moins de jardin mais plus de trottoirs et plus de terrasses…

Des îlots de fraîcheur renforcés par la plantation d’arbres et de surfaces végétales: l’ancien jardin avait un meilleur indice de fraîcheur urbain que le projet: 24,3 % contre 12,2% puis 19,4 % en 2050… L’ombrage des arbres sur cette place et le plan d’eau permettaient d’obtenir des résultats meilleurs que le futur projet, malgré un nombre supérieur d’arbres plantés. (33 nouvelles plantations)

nouvelles essencesDes nouvelles essences d’arbres, aux feuillages et aux floraisons variées pour mieux résister à la pollution: Après 70 ans de CO2, sur ce carrefour routier, il a fallu l’aide des tronçonneuses pour venir à  bout des 18 marronniers…

2 alternatives pour les cyclistes: itinéraire rapide sur voirie ( à vos  risques et périls…) et itinéraire sécurisé sur l’aire piétonne (slaloms et engueulades garantis…)

Un mobilier fonctionnel. Ouf!

Rendez-vous est donc pris en 2020, pour voir si la réalité de la place Gambetta sera aussi idyllique que la ville de Bordeaux veut bien l’afficher.

 

 

 

 

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