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Archives de Catégorie: Eau

Fête du fleuve 2017, l’écologie prend l’eau.

06 samedi Mai 2017

Posted by Patrick PAPADATO in Climat, Eau, Eco-manifestation

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bordeaux, Bordeaux fête le fleuve, Bordeaux fête le vin, Bordeaux grands événements, Compensation carbone, ecologie, Ecomanifestation, Staphan Delaux, Traversée de Bordeaux à la nage

fleuve Bordeaux

Bordeaux fêtera le fleuve du 26 mai au 3  juin 2017 et cette dixième édition s’annonce comme les autres années,  festive et riche en événements.   Départ de la Solitaire Urgo – Le Figaro, balades fluviales, traversée de Bordeaux à la nage, concerts, »parade des héros », feux d’artifice,… offriront certainement aux Bordelais des moments inoubliables.

Il est cependant regrettable que pour cette  nouvelle édition, dans le programme de Bordeaux fête le fleuve,  pas une seule animation ou même un simple rappel ne soit prévu  pour évoquer la fragilité des fleuves et des océans, pour sensibiliser les Bordelais à l’urgence écologique.

Une participation ou même une simple évocation de la problématique environnementale par des associations engagées dans la préservation de la ressource en eau, la protection de la flore, de la faune, des zones humides ou de la préservation des océans aurait été  utile et salutaire. 

Bordeaux fête le fleuve

Mais pour l’association « Bordeaux grands évènements »  qui organise  Bordeaux fête le fleuve et aussi Bordeaux fête le vin, l’écologie n’est pas une priorité.  C’est pourquoi une communication en direction de la fragilité du fleuve ou même une quelconque compensation carbone pour un évènement qui a rassemblé tout de même lors de la dernière édition pas moins de 520 000 spectateurs, n’est pas à l’ordre du jour.

Pourtant le maire de Bordeaux, interpellé sur ce sujet par un élu écologiste (EELV) lors du conseil municipal du lundi 27 avril 2009, avait explicitement demandé,  à Stéphan Delaux, Président de Bordeaux Grands Evénements  et Président de l’Office du Tourisme de prévoir une « compensation carbone de la manifestation ».

Depuis cette date,  il semble que le maire et son adjoint  aient oublié leurs engagements. Aucune communication sur le sujet et pire,  aucune trace d’une éventuelle compensation carbone lors des grands événements de la ville de Bordeaux. Depuis cette date,  fête du vin et fête du fleuve se succèdent sans qu’une quelconque prise en compte des  émissions de gaz à effet de serre soit entreprise, tout comme l’ébauche d’un bilan carbone.

Dommage pour l’environnement, même si la ville affiche toujours  une belle volonté dans son guide des écomanifestations :  http://www.bordeaux.fr/images/ebx/fr/groupePiecesJointes/24386/2/pieceJointeSpec/129068/file/guide_ecomanifestations.pdfdommage  qu’elle a malheureusement, bien du mal à faire appliquer auprès de ses plus proches partenaires…

traversée Bordeaux nage

Heureusement seule la traversée de Bordeaux à la nage, met clairement en avant une réflexion en mobilisant ses participants  et en compensant ses émissions carbone.   http://traverseedebordeaux.com/spip.php?article251 

Grâce à leur sponsor « MT Partenaires Ingénierie », les déplacements, la logistique, les achats ou bien encore les prestations nécessaires à un tel évènement sont analysés.  Ce qui permet aux organisateurs d’annoncer planter des arbres «  à hauteur des émissions calculées » avec pour objectif  d’atteindre la « neutralité carbone ».

Un bémol tout de même à cette initiative extrêmement louable, une communication à minima sur les plantations locales en question. Seules les éditions 2008 et 2010 affichent leur compensation carbone:  sept arbres pour la première,  seize arbres pour la seconde.  Et  la déclaration selon laquelle, la traversée de Bordeaux serait le « premier événement sportif français compensé carbone localement » est quelque peu osé. Rappelons,  par exemple,  qu’en 2016  à la suite du marathon vert de Rennes,  qui affiche lui clairement ses ambitions et ses actions,  https://www.lemarathonvert.org/Courons-pour-la-planete-443.html   plus de 115 025 arbres ont été plantés en Inde mais  aussi localement.

 

 

 

 

 

 

 

Zones naturelles vs zones économiques .

10 vendredi Juin 2016

Posted by Patrick PAPADATO in agriculture urbaine, arbres, Biodiversité, Eau, jardin, Urbanisme, zones humides

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agriculture urbaine, bordeaux, ecologie, Nouveau stade, quartier, stade, Urbanisme, zones humides, zones naturelles

 

stade

Notre métropole est-elle  encore capable de préserver les derniers espaces naturels sur son territoire?

La question est encore , hélas,  d’actualité quand on voit les projets qui se sont développés ces derniers mois et qui grignotent lentement et sûrement: bois, zones de pâturage, zones Natura  2000, faune et flore sauvages ainsi que  zones maraîchères.

En effet, malgré la communication autour du fameux slogan  « 55 000 hectares pour la nature », initiée  par Bordeaux métropole, pour une meilleure prise en compte de la nature en ville,  il semble que la pression des investisseurs de tous poils,  soit plus forte que la défense des derniers espaces naturels. Les maires succombent en effet, bien trop souvent,  aux sirènes des investisseurs  toujours plus gourmands.

Petit rappel de quelques faits, récents, vécus sur notre Métropole.

A Bruges, c’est déjà la Cistude, espèce protégée qui avait fait les frais d’un chantier démarré par le transporteur Ducros sur la zone de fret qui jouxte  la réserve naturelle. A l’époque, c’est la CUB (communauté urbaine) qui avait vendu la parcelle  à cette société;  manque de chance pour les marais de Bruges, classés Natura 2000 et la tortue aquatique continentale, seule espèce recensée en France métropolitaine.

Au Taillan-Médoc , c’est une déviation routière de 7 850 mètres qui doit recouvrir 11,5 hectares de zones humides sur lesquelles ont été répertoriées plus de  78 espèces protégées (  papillon, amphibiens, reptiles, oiseaux et mammifères ) C’est France Nature Environnement et la SEPANSO Gironde qui ont attaqué cette décision au tribunal administratif et ont réussi à arrêter les travaux. Le  Conseil départemental de Gironde et l’Etat ont malheureusement depuis fait appel de cette décision.

En Février, à Mérignac, c’est le maire qui tente d’empêcher un centre d’équitation de s’installer sur sa commune. A l’origine, c’est la SAFER (société d’aménagement foncier et d’établissement rural) qui a validé cette installation. Si le projet respecte globalement les 50 ha préemptés, on peut regretter que sur ces anciennes terres d’ exploitations agricoles, la collectivité ne puisse  élaborer un  projet durable d’agriculture urbaine.  Surtout que l’autosuffisance alimentaire de la Métropole n’est que de un à deux jours…  Le dossier reste aujourd’hui en suspens, la mairie ayant écrit au ministre de l’agriculture. Rappelons que cette commune n’a pas toujours été aussi  exemplaire en la matière, avec, par exemple, la construction de l’usine Thalès sur une zone humide. 

 En Avril, à  Talence, c’est le maire qui autorise en plein bois de Thouars, espace boisé classé,  la construction d’un  parcours acrobatique en hauteur par la SARL Acro-Trampoline. Des arbres sont utilisés pour les parcours et percés pour y enfoncer les attaches nécessaires à l’animation, quand ils ne sont  tout simplement coupés…            Mais il semble que les ambitions « xylophages » du maire ne s’arrêtent pas là …  La révision du PLU (plan local d’urbanisme)  annonce déjà la possibilité du  détachement d’une zone boisée ainsi que la  construction de multiples constructions sur ces surfaces naturelles…

 

A Bordeaux, si le Matmut Alantique a bel et bien écrasé définitivement la Znieff existante (zone naturelle d’intérêt floristique et faunistique ), ce stade  continue de faire des ravages, côté nature. C’est maintenant autour de cette nouvelle enceinte sportive que les promoteurs lorgnent. L’ilot de La Jallère, actuellement occupé par Groupama-Gan, représente plus de 9 hectares de zones humides, classées inconstructibles en raison de forts risques d’inondations. Pour contourner cette difficulté,  les promoteurs ont donc proposé au maire de Bordeaux un projet  d’habitations sur pilotis…

bigg01

A Villenave d’Ornon,  c’est le maire Patrick Pujol qui relance  la frénésie immobilière sur le domaine de Geneste dit de la plantation.( 100 hectares dont 20 en plan d’eau). En bordure de Garonne, situées au sud de la zone commerciale des Rives d’Arcins de Bègles, ces terres en zone humide, classées  Natura 2000, sont dans les cartons de plusieurs promoteurs immobiliers  depuis les années 80.  A l’origine , c’est Claude Bez, le fils de l’ancien président de Girondins de Bordeaux qui lance l’idée.  Mais empêtré dans des problèmes judiciaires et les nombreux recours portés par les défenseurs de l’environnement, ce chef d’entreprise abandonne l’affaire dans les années 90.  Cependant le grignotage de ces terres naturelles reste d’actualité d’autant que  la construction d’un bâtiment de quatorze étages sur les restes d’une ancienne ferme a déjà largement  entamé la zone naturelle.

Aujourd’hui, le projet annoncé par le promoteur Vizzion Europe est  à nouveau, celui d’ un projet immobilier  adossé à un projet de golf.  Pourtant avec déjà dix golfs à moins de 1h30 de Bordeaux, notre métropole n’est pas en manque de surfaces pour les amateurs de ce sport… Mais la justification du golf n’est là que pour mieux permettre d’étoffer l’offre et de vendre aux futurs investisseurs un nouveau quartier urbanisée avec commerces, hôtels, résidence de services sur ces zones naturelles tout près des Rives d’Arcins de Bègles.

Alors les « 55 000 hectares pour la nature », c’est pour quand?

Quand on lit , l’éditorial du président de Bordeaux Métropole dans « espèces de Métropole »,   la revue de la collectivité pour un atlas de la diversité,  on y apprend  « que la moitié de notre territoire -soit 38 000 hectares-est constitué d’espaces naturels »...  On se dit qu’il y a donc urgence à recenser les zones naturelles et à les à défendre pour faire en sorte que  la pression immobilière ne réduise pas encore plus ces derniers espaces que certains maires sont prêts à brader au nom de l’emploi ou  du développement économique!

Mégots sur Garonne.

12 vendredi Juin 2015

Posted by Patrick PAPADATO in Déchets, Eau, Propreté

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bordeaux, Déchets, ecologie, Mégots, pollution

IMG_2023

On le sait maintenant: laisser au sol son mégot n’est pas un geste anodin et peut avoir des conséquences pour l’environnement qui le reçoit.

Le mégot est, en effet, composé de cellulose, cadmium, glycérine, goudron, nicotine, métaux lourds et autres produits tout aussi toxiques. Rien de très bon, ni de très anodin.

Au mieux, le mégot finira sa course dans l’incinérateur des déchets ou encore dans les boues de la station d’épuration, après son passage dans les égouts.
Au pire, il se retrouvera directement dans la nature où il pourra, par exemple être ingéré par des animaux. Certains mégots peuvent rester au sol plus longtemps et diffuser leurs produits chimiques le temps de leur décomposition.
Mais les mégots terminent souvent à la mer. Une rapide promenade sur nos côtes permet de réaliser l’étendue de ce problème de pollution que représente ce geste apparemment banal de jeter sa cigarette ou de l’écraser simplement sur le sol.

Un mégot met entre 1 et 10 ans pour se désagréger, non sans dommage pour la nature. Au contact de l’eau, il diffuse ainsi ses substances nuisibles et peut polluer jusqu’à 500 litres d’eau.

En ville, les municipalités prennent peu à peu la mesure de l’urgence qu’il y a à résoudre ce problème de propreté.
Des cendriers de rues sont donc peu à peu installés et des campagnes de sensibilisation voient le jour comme à Grenoble ou à Paris. Récemment, la ville de Biarritz a décidé d’interdire aux fumeurs, pour cet été 2015, une de ses plages.

A Bordeaux, l’adjoint à la propreté, déclare dans le journal Sud Ouest, avoir pris conscience du problème et indique que la municipalité a installé ces deux dernières années 120 cendriers sur les espaces publics.
Ce chiffre, donne une petite idée du travail qu’il reste encore à faire sur le terrain…
En ce qui concerne les commerces, si la ville a donné obligation aux bars et restaurants d’installer un cendrier à l’extérieur de chaque établissement, une petite promenade dans les rues de Bordeaux permet de voir l’étendue de la tâche et la difficulté à faire respecter nuit et jour ces obligations…
D’autant que l’absence de poubelles dans certaines rues, devant certains commerces ou sur certains secteurs accentue les dépôts de mégots sur le sol.
Le nettoyage en fin de soirée par les responsables des commerces n’est pas suffisant et la présence de cendriers doit devenir systématique.

IMG_2022
Pire, sur les quais, notamment du côté des nombreux commerces, restaurants et écoles du quai des marques, le nombre insuffisant de cendriers et de poubelles peut interroger.
Entre le pont Chaban Delmas et le hangar 14, on a dénombré 20 poubelles, soit une poubelle tous les 60 mètres. Pas mal, mais on peut certainement mieux faire.
Et pour ce qui est des cendriers, il faut, encore plus marcher pour les trouver…

Vent, pluie et absence de trottoirs ou de retenues font que les mégots se retrouvent très facilement dans la Garonne, avec les conséquences pour l’environnement notées au début de cet article.

Il est temps que la municipalité se saisisse de ce problème et agisse pour que le fleuve ne serve plus de dépotoir.

Et que les fumeurs modifient leur comportement en prenant l’habitude de jeter leurs cigarettes dans les poubelles ou cendriers. Même quand ils n’en ont pas directement à proximité…

Eau: rage ou désespoir?

03 vendredi Oct 2014

Posted by Patrick PAPADATO in Eau

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agenda 21, bordeaux, Eau, ecologie

 

eau

Si l’on en croit le dernier rapport sur la situation en matière de développement durable en date du 23 septembre 2013, les services de la ville de Bordeaux remplissent  leurs engagements en matière de réduction de la consommation d’eau. Les chiffres sont en effet impressionnants. De 2002 à 2012, la consommation d’eau des services de la ville est en effet passée de 2 millions à   750 000 m3.

Ces résultats sont notamment obtenus grâce aux efforts du service des espaces verts (parcs et jardins) qui a diminué de plus de 85% sa consommation ou encore des services urbains (propreté, hygiène, marchés, fontaines,…) de 63%.  Si les résultats sont bons  aussi pour les bâtiments municipaux ( moins 42%),  les équipements sportifs peinent à suivre le mouvement général de baisse (seulement moins de 28%)  Etonnant quand on sait, par exemple, que l’alimentation des bassins de la piscine judaïque se fait dorénavant grâce à la récupération de l’eau géothermique issu du réseau de Mériadeck. (en 2012, 30 000 m3 d’eau économisés)

Ces chiffres sont donc une bonne nouvelle pour les réserves souterraines en eau potable du département car cette réduction permet ainsi de diminuer de près de 40 % le prélèvement d’eau dans les nappes profondes réalisé par les services de la ville de Bordeaux. Cela leur permet d’atteindre  ainsi les objectifs fixés par le schéma d’aménagement et de gestion (SAGE) des nappes profondes de Gironde. Ceux-ci ont été  établis par une Commission Locale de l’Eau représentant les divers acteurs du territoire, et ont été approuvés par le préfet. Il sera donc intéressant de suivre les chiffres des prochaines années sachant qu’il s’agira de consolider ces bons résultats.

Cependant en ce qui concerne,  l’ensemble du territoire de la ville de Bordeaux, si la consommation d’eau potable par habitant semble avoir ralenti de 18% sur cette période 2002-2012, des efforts restent encore à faire, sachant que le département, la CUB et la ville de Bordeaux connaissent  un fort accroissement démographique. L’objectif affiché du SAGE de préservation du bon état des ressources passe notamment par la réduction des prélèvements effectués dans certaines nappes profondes,  par une diminution des consommations et par la mise en service de ressources de substitution.  Cela sous entend  notamment de mettre en marche un plan de mesures d’équipement des logements en matériel hydro-économe et de substitution de l’eau des nappes profondes par des nappes plus affleurantes dont l’eau est de moindre qualité, pour les usages non potables.

Car près de la moitié des prélèvements effectués pour satisfaire les besoins en eau proviennent de quatre nappes souterraines dont  certaines d’entre- elles révèlent une surexploitation. Cette surexploitation constitue un risque pour les ressources en eau souterraine du département, qui fournissent près de 99 % de l’eau potable.

Un des objectifs passe donc  par une stratégie de réduction des consommations en généralisant les équipements hydro-économe et en sensibilisant les usagers. C’est ainsi qu’un projet européen est actuellement en cours sur la Gironde, MAC Eau (maîtrise de la consommation d’eau) un dispositif de distribution de kits d’économie d’eau qui permettra la distribution de  80.000 kits sur l’ensemble du département.

Sur Bordeaux, 16.500 kits seront ainsi distribués aux Bordelais entre septembre 2013 et décembre 2014. Le point de distribution est la Maison écocitoyenne. Si vous êtes Bordelais, il vous suffit de nous rendre visite muni de votre facture d’eau et de remplir un questionnaire. Vous pourrez alors choisir entre deux kits d’appareil hydro-économes :
Kit n°1 : Douchette éco + 2 mousseurs
Kit n°2 : Réducteur de débit douche + 2 mousseurs

Pas vraiment de quoi équiper l’ensemble des points eau de votre habitation…mais toujours mieux que rien en matière de promotion et d’information. D’autant  que cela permet surtout à la ville de Bordeaux d’augmenter et de rehausser  les ambitions de son agenda 21 dans lequel on peut lire:

Objectif 7 Action 24 Construire et aménager une ville sobre et durable.  Favoriser l’éco-construction et l’éco-réhabilitation dans le parc privé et les logements sociaux
Lutter contre la précarité énergétique par l’identification des ménages et l’appui financier de la Ville (réalisation de travaux, kits, sensibilisation…)
Les mesures concrètes : Equiper 450 nouveaux foyers en kits d’économie d’eau et d’énergie à l’horizon 2014…

Sur un total de 130 000 ménages à Bordeaux ! Cela aurait pu faire un sujet de  mathématiques: « Calculer en combien d’années l’ensemble des foyers Bordelais seront équipés? »

 

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