Ecolo Bordeaux Blog

~ Bordeaux est une belle ville mais l'écologie n'est-elle qu'une façade ou bien une réalité? Ce blog se propose de recenser ce qui se fait en matière d'écologie et ainsi de permettre à chacun de se faire une opinion! Vous pouvez trouver des informations sur ce qui se fait ailleurs sur https://www.facebook.com/Ecolobordeauxblog-386811244801113/

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Archives de Tag: école

Ecole, auto, dodo.

23 lundi Oct 2017

Posted by Patrick PAPADATO in école, pollution de l'air, Transports

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école, bordeaux, Carte scolaire, Ecoles privées, ecologie, parents d'eleves, pollution

Ecole EcolobordeauxBlog

Les automobilistes pourront ces deux prochaines semaines respirer: c’est les vacances!

Avec nos petits chérubins à la maison, chez papy et mamie, au centre de loisirs ou simplement partis avec leurs parents en vacances, les rues de Bordeaux le matin et le soir seront certainement moins embouteillées. Dès ce lundi, on mesurera facilement l’impact de nos chers écoliers sur nos déplacements journaliers.

Mais dans quinze jours, on retrouvera les bouchons.  Si avant huit heures, il sera encore possible de se déplacer, dès la rentrée, cela recommencera sérieusement à coincer. Et on constatera les mêmes effets, le soir, aux heures de débauches et aux sorties des classes.

Une enquête ménage réalisée entre 2008 et 2009 par la CUB (Bordeaux Métropole aujourd’hui) sur les déplacements a démontré que 11% des déplacements quotidiens concernaient les trajets scolaires.  http://www.bordeaux-metropole.fr/var/bdxmetro/storage/original/application/e90d1d8f488e4aa4f11d5cba670a7ad6.pdf Soit plus de 280 000 voitures par jour qui circulent  pour rejoindre les établissements scolaires (école-collège-lycée-université confondus) sur la métropole.

Reste cependant  une question: comment expliquer, à Bordeaux,  encore toutes ces voitures devant les écoles pendant les jours de classes sachant que la carte scolaire implique normalement une scolarisation des élèves sur leur secteur d’habitation?

En principe, le choix de l’école élémentaire ou maternelle relève du secteur où l’on habite. La distance maison-classe est donc limitée et devrait normalement privilégier les mobilités actives (marche à pied ou vélo). Même si une majorité des élèves vient par ces moyens à l’école, pourquoi il y a-t-il toujours autant de véhicules devant les établissements scolaires?

Une première explication vient du fait que certains parents préfèrent déposer leur progéniture en voiture avant d’aller rejoindre leur travail. Pas toujours certain que le temps passé dans les bouchons du matin menant à l’école, soit toujours plus rapide qu’un simple aller retour maison-école à pied, puis un départ vers le travail…

Une autre explication: certaines familles  contournent la carte scolaire en demandant des dérogations à la mairie. Pour des raisons professionnelles, de localisation de la garde d’enfants, des grands parents,  il sont en droit  de demander à scolariser leur enfant sur une autre école. Il arrive même que faute de place, les services municipaux  proposent aux familles un établissement hors secteur, c’est du reste le cas sur Bordeaux Nord qui connaît actuellement des problèmes d’écoles sur ce secteur de la ville.

embouteillage

Mais la prime des déplacements motorisés revient aux établissements privés qui produisent de fait plus de pollutions que les groupes scolaires publics. 

Ces écoles pour remplir leurs classes, recrutent bien au-delà de leurs secteurs géographiques. Elles n’ont aucune obligation d’inscrire uniquement les élèves du quartier où elles sont implantées. Les familles de ces élèves du privé, venant pour au moins un tiers d’être eux, voir plus sur certains écoles,  d’autres secteurs de la ville ou de la métropole, la plupart des déplacements se font principalement en véhicules motorisés, ce qui  entraînent mecaniquement bouchons et engorgement de nos rues. L’impact carbone des établissements privés est donc largement supérieur aux écoles publiques. 

Pour finir, reste que même sur  les écoles publiques les habitudes semblent difficiles à changer. 

Les pédibus que la mairie tente d’impulser à chaque rentrée sur les écoles de Bordeaux ont du mal à recruter. A ce jour, seules 6 écoles sont référencées sur les 103 écoles que comptent la ville. http://www.reseaumillepattes.org/reseau/cartedureseau/ Il faut dire que ce système  reste fragile car il repose sur le volontariat  des parents d’élèves.  Un changement de classe ,  de groupe scolaire, de vie professionnelle provoque aussitôt l’arrêt du processus. D’après Rue 89, « (…) 83 enfants de la métropole bordelaise (…)se sont rendus à l’école en Pédibus, durant l’année scolaire 2015-2016, selon les chiffres avancés par le réseau Mille Pattes ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vaisselle cassée, c’est la fessée. Vaisselle foutue, pan-pan cul-cul!

23 jeudi Fév 2017

Posted by Patrick PAPADATO in Alimentation

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école, bordeaux, coeducation, coelaboration, concertation, copolester, démocratie participative, ecologie, pollution, Vaisselle plastique

(merci Pierre Perret pour le titre…)

bordeaux-assiettes-plastiquesjpg

Vaisselle en plastique vs vaisselle en céramique

.

La municipalité a perdu une bonne occasion de faire des  économies et  de s’éviter les foudres des parents d’élèves très remontés sur la question de la santé des enfants.

Il faut dire que sans aucune concertation, ni visiblement communication en direction des écoles ou même appel  d’offre voté en conseil municipal, les services municipaux ont décidé de remplacer la vaisselle en verre et en faïence par de la vaisselle en plastique.

Cette décision qui a entrainé l’équipement de  l’ensemble des restaurants scolaires fait depuis débat au sein des conseils d’école.  Elle suscite aussi interrogations et oppositions de la part des familles depuis que les parents de l’école Francin (Bordeaux Sud) ont alerté la presse locale et nationale.

L’objectif municipal était, au départ,  de soulager les oreilles des enfants et du personnel et d’alléger pour le bien de tous le poids des assiettes. Si le remplacement des verres, il y a quelques mois,  par des  gobelets en plastique est  passé quasiment inaperçu,  il n’en a pas été de même pour les assiettes.

Il faut dire que la note finale semble salée: 135 000 euros pour verres et assiettes en plastique… Un facture qui questionne alors que de nombreux budgets municipaux sont à la baisse.

bordeaux-verres-plastiques

Verres en plastique.

A l’heure de l’écologie, les parents, bercés par les discours et les nombreuses communications municipales sur ce sujet, s’interrogent légitimement sur la dangerosité de ces verres et assiettes en plastique.
Le lavage quotidien à eau chaude de cette vaisselle n’altèrera -t-il pas la composition même du plastique en copolyester?  Si ce produit est garanti sans bisphenol A et sans phtalates ( perturbateurs endocriniens qui ont fait polémique avec les biberons) personne ne sait comment ces assiettes vieilliront et résisteront aux coups de fourchettes et de couteaux de nos petits.

La durabilité du plastique pose un problème sanitaire mais aussi écologique sachant que cette vaisselle devra être changée  pour ne pas voir altérer sa composition. Ces assiettes et ces verres termineront donc à l’incinération car ils ne semblent visiblement pas recyclables.

Enfin sur la méthode, la communication n’a pas été non plus à la hauteur. Cette décision ressemble fort à un passage en force. Pas de concertation , pas de commission, pas de questionnaire aux familles,  la décision a été prise unilatéralement et tant pis pour la co-construction  ou  la co-éducation tant vantée  par la municipalité.

 

A l’école des quartiers Nord.

16 vendredi Sep 2016

Posted by Patrick PAPADATO in école, Ecoquartier, Urbanisme

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école, Bassins à flots, bordeaux, ecologie, Ecoquartier, Ginko, Juppé, quartier, Urbanisme

bordeaux-nord2

« Ecoquartier », « quartier à énergie positive », sur le papier ces titres avantageux pour Bordeaux ces dernières années ont attiré bon nombre d’investisseurs.  C’est ainsi que le boom immobilier et l’arrivée de nouveaux habitants ont permis d’alléger quelque peu la pression fiscale, déjà forte sur les familles bordelaises.

Cette rentrée de nouveaux foyers fiscaux et d’argent inespéré dans les caisses de la ville, en période de forte réduction des aides de l’Etat, a ainsi permis à la municipalité de poursuivre ses investissements pour continuer à attirer de nouveaux habitants.

C’était le cercle vertueux : Cité du vin, grand stade, aménagements successifs des quais, nouveaux quartiers Niel, Brazza, Belcier, Bassins à flots, futur gare TGV, OIN Euratlantique… les grues à l’horizon démontraient le succès de cette entreprise.

Le Bordeaux de demain se construisait.

Mais aujourd’hui peu à peu les Bordelais anciens ou nouveaux découvrent une toute nouvelle ville… Sorti des belles façades rénovées des quais, c’est un tout autre Bordeaux qui peu à peu se dessine et qui ne fait pas toujours le bonheur de ses habitants.

Si la communication de la mairie permet de vendre encore cette ville à des investisseurs, pas toujours très regardants sur le produit final, cette course au profit connaît peu à peu quelques déboires…

Au-delà de l’esthétisme de ces nouveaux grands ensembles, de ces tranches de quartier laissées au bon vouloir des promoteurs pas toujours très à cheval sur le cahier des charges initial, ni sur la cohérence finale du futur quartier, c’est la question des équipements publics qui est posée.

La ville ne semble ne plus vraiment maîtriser ce qui se passe sur le terrain et cette rentrée scolaire 2016-2017 démontre ces propos.

Bassins à flots

Sur Bordeaux Maritime, ça flotte sérieux …

Directeurs d’école tendus, inspectrice de l’éducation nationale du secteur sous pression, nouveaux parents perdus par les propositions d’inscription de leurs enfants, élèves sans place sur leur école de secteur et dirigés vers des écoles en préfabriqués, …la situation des écoles sur Bordeaux Maritime est quelque peu explosive.

La spéculation foncière effrénée sur ce secteur de la ville et le manque d’anticipation de la mairie imposent à ces nouveaux habitants une rentrée scolaire  chaotique.

Si la découverte d’un terrain pollué sur la future école du secteur bassin à flots a certes imposé un retard dans la livraison de la future école Jean Jacques Sempé, cet évènement n’est pas le seul responsable de cette rentrée scolaire catastrophique. Car c’est toute la circonscription de Bordeaux Nord qui voit ses effectifs exploser. Pas moins de 13 créations de classes sur ce secteur de la ville… Du coup, une entité « Lac 4  » est même créée, avec algecos en guise de classes et il est demandé aux autres écoles du secteur de « pousser les murs ».

Sur l’emblématique quartier Ginko, l’école Vaclav Havel est désormais complète et une quatorzième  classe et dernière classe vient d’y être créée.

Les futures familles devront donc attendre 2020, pour voir livrer la seconde école de cet écoquartier. En attendant, les enfants seront certainement acheminés par minibus sur une nouvelle école modulaire, prévue en septembre 2017, boulevard Alfred Daney.

Pour un écoquartier, il y a mieux en matière de développement durable…

La ville et son maire sont débordés par une situation que les services municipaux ne semblent plus vraiment maîtriser.

L’école J.J. Sempé, qui devait à l’origine recevoir deux classes maternelles, se voit, au mois d’août, rattacher en urgence l’école l’école maternelle Lucien Faure, du fait d’une fragilité de ses murs, causée par … les travaux du quartier.

Deux classes maternelles de plus, soit quatre classes et une classe unique pour l’élémentaire avec vingt enfants du CM2 au CP, dont tout de même 10 élèves de CP.  Tellement  « écoquartier » qu’on retrouve , en plein centre ville,  une situation vécue par bon nombre d’écoles de campagne  ! Le petit Nicolas aurait certainement apprécié cette situation, la réalité est pourtant bien moins poétique.

Dans cette école, installée à la va-vite dans l’unique jardin du quartier des Chartrons, le jardin de ta soeur, la situation ne pouvait pas être pire : préfabriqués étouffant lors des pics de chaleur du mois de septembre, coupures électriques en début d’année, sécurité aux abords de l’école à revoir rapidement, cour non aménagée, … sans parler des familles qui ne peuvent plus inscrire leurs enfants dans cette école et à qui on propose de les véhiculer par bus tous les matins vers l’école modulaire du Lac 4, une autre école provisoire installée rue du Petit Miot, près de l’école Lac 2 (dans le quartier des Aubiers situé en zone urbaine sensible)

Aujourd’hui, on apprend  avec stupéfaction que ce n’est qu’au mois de novembre que l’inspection académique et la mairie se rencontreront afin d’échafauder un plan prévisionnel pour ce secteur livré à la spéculation immobilière.

Pourtant dès janvier 2016, les responsables éducatifs sur le terrain avaient déjà alertés des risques de tensions sur les effectifs,  la mairie n’a semble-t-il rien anticipé.

Au final, cette situation découle surtout du fait que le maire de Bordeaux n’a pas retenu le principe d’une ZAC (Zone d’Aménagement Concerté) pour les Bassins à flots mais lui a préféré un plus rapide PAE (Programme d’Aménagement d’Ensemble) qui laisse malheureusement  peu de place à la puissance publique pour imposer quoi que ce soit aux promoteurs privés. Aujourd’hui, ce secteur subit donc un aménagement qui ne tient pas compte des besoins des familles en matière d’établissements publics et surtout un laisser-faire déroutant de la part de l’équipe municipale en place.

Et ta soeur, elle est en REP ?

01 mardi Mar 2016

Posted by Patrick PAPADATO in école, Bassins à flots, jardin, Urbanisme

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école, bordeaux, quartier, Urbanisme

images

C’est une drôle de situation qui risque de se produire lors de la prochaine rentrée scolaire 2016/2017 sur le secteur des bassins à flots. 

Si on sait que d’ici 2030, près de  12 000 nouveaux habitants doivent s’installer  sur ce quartier en devenir,  cette arrivée de nouvelles familles  va créer  une situation inique sur ce territoire.

Déjà lors de la rentrée scolaire 2015/2016, la venue de nouvelles familles dans les logements les plus récents  avait imposé, dans l’urgence,  la mise en place d’Algeco sur les deux principales écoles de ce secteur: la maternelle Joséphine et l’élémentaire Dupaty.  Il fallait , en effet,  rapidement pallier l’inscription durant l’été 2015 de nouveaux élèves sur ce secteur des  Chartrons.

Si la livraison  d’une école de neuf classes élémentaires et de six maternelles, rue de la faïencerie,  était bien prévue à l’origine pour la rentrée de septembre 2016,  la découverte d’une pollution radioactive dans le  sol,  avait obligé la mairie à rechercher sur ce secteur une solution de remplacement. Cette nouvelle école tardant donc à trouver un nouveau terrain, c’est l’installation, pour trois ans, d’une école modulaire de 3 à 5 classes,  sur une partie du  jardin de ta soeur,  pour la rentrée 2016, qui a été retenue.

Mais cette situation transitoire pose quelques questions.

Capture d’écran 2016-02-23 à 13.41.59

Géographiquement, il y aura donc d’un côté de la rue, les enfants de l’école Dupaty et juste en face, de l’autre côté de cette même rue, les enfants de l’école provisoire.

Rien de gênant à première vue, si ce n’est que ceux de Dupaty et Joséphine seront en REP (réseau de réussite éducative) et que les nouveaux de la nouvelle école ne le seront pas…

Il faut savoir que l’intitulé REP regroupe généralement le collège et les écoles du secteur qui rencontrent des difficultés sociales plus significatives que celles de collèges et d’écoles situés hors éducation prioritaire.  Le but est d’offrir des moyens supplémentaires  en fonction de la difficulté sociale et permettre ainsi de différencier les réponses pédagogiques au niveau des difficultés rencontrées.

Comme le dit le ministère: « un établissement ou une école qui accueille une population partiellement défavorisée doit être proportionnellement mieux doté qu’un établissement ou une école qui accueille une population presque exclusivement favorisée ». Logique.

Sur ce secteur des Chartrons, ces deux écoles devraient relever du collège Edouard Vaillant. Mais compte tenu du fait que la composition sociologique des familles diffère, les services municipaux et académiques ont estimé, à juste titre,  que compte tenu du prix du foncier de ces nouveaux logements, les nouveaux élèves ne relèveront  pas  de la REP. Les enfants de cette école provisoire sur le  jardin de ta soeur ne seront donc pas en REP. Normal.

images-1

Mais si tout ceci est logique et normal sur le papier, on aurait pu s’attendre à une vraie redistribution des élèves à l’échelle de  ce territoire qui compte de nombreuses difficultés sociales et scolaires.

Concentrer, sur une seule et même école, les difficultés interroge.

N’aurait-il pas été plus normal de revoir totalement la carte scolaire sur ce secteur? N’aurait-il pas été plus logique de mélanger les populations afin de mieux répartir les difficultés scolaires?                                                                                                             N’aurait-il pas été plus juste de mixer les écoles, tout au moins pendant cette période transitoire de trois ans?

La circonscription de Bordeaux Nord (Bordeaux Maritime) connaît depuis maintenant quelques années des difficultés scolaires, du fait d’une population en difficulté sociale. L’arrivée sur les bassins à flots de familles plus aisées aurait pu être une formidable opportunité pour s’interroger sur la meilleure répartition possible des populations sur les écoles de ce secteur en fort développement.

Il semble que, pour l’instant,  la solution retenue par les services municipaux et l’inspection académique, soit de rester sur cette situation qui verra donc la rue Dupaty séparer  les élèves en REP de ceux qui ne le seront pas.

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